Utopie

Devoir de français que je fait en écoutant Lord of the ringard...




Vlaan se surprit à rêver.Il voulait avoir un sommeil paisible,aussi décida-t'il d'ouvrir les yeux pour pouvoir les refermer.Il faisait toujours nuit,et il fut surprit d'entendre un craquement de planchet.Ce qui le choqua ne fut pas le craquement lui même,mais le fait qu'il n'y avait que dans la pièce ou il dormait que le planchet puisse craquer.Cette fois-ci,il rouvrit les yeux pour voir qui voulait le déranger.Tout ce qu'il put percevoir,ce fut un point plus noir que les autres à quelques centimètres de son crâne,et l'étincelle qui lui otâ la vie.
Brasov relacha la détente et sorti de la pièce.Avant qu'il ne quitte le manoir,la police avertie par le jardinier avait fait plusieurs somations.Il fut abatu après être sorti d'un pas souple,une arme à la main.

Oui et puis ?? je voit pas le sens de ce sujet lol

Pour la troisième fois,Vlaan ouvrit les yeux.Tout autours de lui était d'un blanc nacré,si bien qu'il ne pu définir là où se trouvait l'horizon,si le sol s'arrétait quelque part ou si la voute celeste qui s'étendait autours de lui adméttait une limite.Puis il se rendit compte qu'il se tenait debout et droit sur ses jambes,aussi il fit quelques pas en avant et perçut que le sol était meuble,il lui sembla même qu'il piétinait une poudre quelquonque.Il se frotta le visage mais le même blanc nacré s'étallait toujours autours de lui.Il commencat à tenter de sentir une odeur,mais ici rien ne semblait laisser émaner une signature olfactive.Vlaan se repencha sur la question de la stabilité souteuse de là où il méttait les pieds et s'arréta de marcher pour toucher le sol.Il s'inclinat et s'est à ce moment précis que quelqu'un d'autre fit son aparition dérière lui.Il se redressa avec vivacitée et aperçu une troisième personne devant lui.S'était un homme qui semblait d'un âge assez avancé et qui tenait un marteau de belle taille sur son épaule.Vlaan dégluti et réalisa qu'il avait un réél problème;il savait que si saint Pierre devait leur aparaître,s'est que quelques chose de grave leur était arrivé.

nan mais il faut pas que sa;en première il faut remplir la copie double et répondre aux question du devoir sur une feuille à part...


En fait,s'est pour savoir si ya pas de faute abérantes...

Ahhhh ok ! Est ce que tu sais que je suis prof de français ?

A 14 ans?

Mort de rire.

Bein moi aussi vu que je donne des cours de ratrapage dans toute les matières de la 6° à la 3° sauf espagnole.

ahbon?

bein ouep...toute matière de 6° à 3° sauf celle que j'ais pas eu moi-même(Latin,espagnol et j'estimme ne pas être sufisement qualifié pour la technologie aussi...donc je fait aussi dans la musique par exemple) et j'assure l'allemand LV et l'anglais LV2 jusqu'en seconde...


Bah si sa t'intérrésse je suis vraiment pas chèr et je fait facilement des réduction ^^.

Vlaan se surprit à rêver. Il voulait avoir un sommeil paisible, aussi décida t’il d'ouvrir les yeux pour pouvoir les refermer. Il faisait toujours nuit, et il fut surprit d'entendre un craquement de planché. Ce qui le choqua ne fut pas le craquement lui même, mais le fait qu'il n'y avait que dans la pièce ou il dormait que le planché puisse craquer. Cette fois-ci, il rouvrit les yeux pour voir qui voulait le déranger. Tout ce qu'il put percevoir, ce fut un point plus noir que les autres à quelques centimètres de son crâne, et l'étincelle qui lui ôta la vie.
Brasov relâcha la détente et sorti de la pièce. Avant qu'il ne quitte le manoir, la police avertie par le jardinier avait fait plusieurs somations. Il fut abattu après être sorti d'un pas souple, une arme à la main.

Pour la troisième fois, Vlaan ouvrit les yeux. Tout autours de lui était d'un blanc nacré, si bien qu'il ne pu définir là où se trouvait l'horizon, si le sol s'arrêtait quelque part ou si la voûte céleste qui s'étendait autours de lui admettait une limite. Puis il se rendit compte qu'il se tenait debout et droit sur ses jambes, aussi il fit quelques pas en avant et perçut que le sol était meuble, il lui sembla même qu'il piétinait une poudre quelquonques Il se frotta le visage mais le même blanc nacré s'étalait toujours autours de lui. Il commença à tenter de sentir une odeur, mais ici rien ne semblait laisser émaner une signature olfactive. Vlaan se pencha à nouveau sur la question de la stabilité douteuse de là où il mettait les pieds et s'arrêta de marcher pour toucher le sol .Il s'inclinât et s'est à ce moment précis que quelqu'un d'autre fit son apparition derrière lui. Il se redressa avec vivacité et aperçu une troisième personne devant lui. S'était un homme qui semblait d'un âge assez avancé et qui tenait un marteau de belle taille sur son épaule. Vlaan dégluti et réalisa qu'il avait un réel problème;il savait que si saint Pierre devait leur apparaître, s'est que quelques chose de grave leur était arrivé.

Ils furent donc tout deux jugé. L'un pour les choses qu'il s'est retenu de faire, et l'autre pour celle qu'il aurait pu retenir. Celui qui manqua d'abstention fut congédié par le bas et celui qui avait suivit la voie pu la poursuivre jusque par le haut.

Aucune différence. Vlaan ne percevait toujours rien de différent. Tout était encore et inlassablement semblable à autre et il n'était même pas sur de progresser Le chemin qui lui avait était indiqué n'était en rien différent de ce qu'il avait vu depuis sa venu en ces cieux. Mais il continua de marcher. Sans s'accorder de cesse. Il estimait que depuis sa mort de la veille au soir, il avait profité de peu de repos et se pressé de savoir quand il trouverais sommeil. Au bout d'une longue marche ,il commença à discerner d'autres choses. Des choses moins clairs, moins pâles. Il hâtât le pas et les choses se firent plus précises. Il fini par rejoindre foule de gens, et se demanda si il perdait la raison. Toute les personnes devant lui avait l'air occupé mais également oisive. Toute cette masse se déplaçait lentement, sans rien faire, sans jamais avoir à s'éviter, mais sans jamais s'heurter. De ce flot errant, une personne se distinguait, elle se déplaçait plus vivement que les autres et se déplaçait justement vers Vlaan. Elle arriva à sa hauteur et l'être se révéla avoir une étrange apparence. Pas plus hommes que femmes, cette entité avait pourtant forme humaine. Sa voix ne laissait nullement prédire si elle possédait un genre et sa démarche était d'une neutralité presque affligeante. Elle salua le nouveau venu d'un bref hochement de tête et lui présenta les lieux car tel était la raison de son existence. L'individu lui exposa donc qu'ici, nul n'avait de besoins, de problèmes, de nécessité et que, donc, nul ici n'avait à résoudre des gènes, répondre à des questions ou même dissoudre des instabilités. Que chacun pouvait faire ce que bon lui semblait tant que cela ne puisse avoirs aucune incidence sur le restes d'ici, d'ailleurs, pour toujours et à jamais car l'éternel n'a pas besoin d'être maintenu en existence. Il suffisait de se taire pour rompre le bruit, s'arrêter pour cesser le mouvement et écouter pour ne plus rien entendre.

POUILLE Thibaut 1°S1
Français







Vlaan se surprit à rêver. Il voulait avoir un sommeil paisible, aussi décida t’il d'ouvrir les yeux pour pouvoir les refermer. Il faisait toujours nuit, et il fut surprit d'entendre un craquement de planché. Ce qui le choqua ne fut pas le craquement lui même, mais le fait qu'il n'y avait que dans la pièce ou il dormait que le planché puisse craquer. Cette fois-ci, il rouvrit les yeux pour voir qui voulait le déranger. Tout ce qu'il put percevoir, ce fut un point plus noir que les autres à quelques centimètres de son crâne, et l'étincelle qui lui ôta la vie.

Brasov relâcha la détente et sorti de la pièce. Avant qu'il ne quitte le manoir, la police avertie par le jardinier avait fait plusieurs somations. Il fut abattu après être sorti d'un pas souple, une arme à la main.



Pour la troisième fois, Vlaan ouvrit les yeux. Tout autours de lui était d'un blanc nacré, si bien qu'il ne pu définir là où se trouvait l'horizon, si le sol s'arrêtait quelque part ou si la voûte céleste qui s'étendait autours de lui admettait une limite. Puis il se rendit compte qu'il se tenait debout et droit sur ses jambes, aussi il fit quelques pas en avant et perçut que le sol était meuble, il lui sembla même qu'il piétinait une poudre quelquonques Il se frotta le visage mais le même blanc nacré s'étalait toujours autours de lui. Il commença à tenter de sentir une odeur, mais ici rien ne semblait laisser émaner une signature olfactive. Vlaan se pencha à nouveau sur la question de la stabilité douteuse de là où il mettait les pieds et s'arrêta de marcher pour toucher le sol .Il s'inclinât et s'est à ce moment précis que quelqu'un d'autre fit son apparition derrière lui. Il se redressa avec vivacité et aperçu une troisième personne devant lui. S'était un homme qui semblait d'un âge assez avancé et qui tenait un marteau de belle taille sur son épaule. Vlaan dégluti et réalisa qu'il avait un réel problème;il savait que si saint Pierre devait leur apparaître, s'est que quelques chose de grave leur était arrivé.



Ils furent donc tout deux jugé. L'un pour les choses qu'il s'est retenu de faire, et l'autre pour celle qu'il aurait pu retenir. Celui qui manqua d'abstention fut congédié par le bas et celui qui avait suivit la voie pu la poursuivre jusque par le haut.



Aucune différence. Vlaan ne percevait toujours rien de différent. Tout était encore et inlassablement semblable à autre et il n'était même pas sur de progresser Le chemin qui lui avait était indiqué n'était en rien différent de ce qu'il avait vu depuis sa venu en ces cieux. Mais il continua de marcher. Sans s'accorder de cesse. Il estimait que depuis sa mort de la veille au soir, il avait profité de peu de repos et se pressé de savoir quand il trouverais sommeil.



Au bout d'une longue marche ,il commença à discerner d'autres choses. Des choses moins clairs, moins pâles. Il hâtât le pas et les choses se firent plus précises. Il fini par rejoindre foule de gens, et se demanda si il perdait la raison. Toute les personnes devant lui avait l'air occupé mais également oisive. Toute cette masse se déplaçait lentement, sans rien faire, sans jamais avoir à s'éviter, mais sans jamais s'heurter. De ce flot errant, une personne se distinguait, elle se déplaçait plus vivement que les autres et se déplaçait justement vers Vlaan. Elle arriva à sa hauteur et l'être se révéla avoir une étrange apparence. Pas plus hommes que femmes, cette entité avait pourtant forme humaine. Sa voix ne laissait nullement prédire si elle possédait un genre et sa démarche était d'une neutralité presque affligeante. Elle salua le nouveau venu d'un bref hochement de tête et lui présenta les lieux car tel était la raison de son existence. L'individu lui exposa donc qu'ici, nul n'avait de besoins, de problèmes, de nécessité et que, donc, nul ici n'avait à résoudre des gènes, répondre à des questions ou même dissoudre des instabilités. Que chacun pouvait faire ce que bon lui semblait tant que cela ne puisse avoirs aucune incidence sur le restes d'ici, d'ailleurs, pour toujours et à jamais car l'éternel n'a pas besoin d'être maintenu en existence. Il suffisait de se taire pour rompre le bruit, s'arrêter pour cesser le mouvement et écouter pour ne plus rien entendre.



Tandis que Vlaan devait contempler le vide imperturbable de l’inactivité éternelle que l’on venait de lui offrir, Brasov commençait également à pouvoir se rendre compte de ce que ce renouveau devait lui offrir. Dés qu’il fut sur place, il se demanda, tout comme Vlaan, si il rêvait. Il pleuvait tout autours de lui mais pourtant l’air sentait le soufre, mais un soufre froid, humide, qui donne mal à la tête tant il semble ronger les canaux naseaux. Pour ajouter à cette souffrance mentale, Brasov devait se tenir les côtes pour ne pas sombrer de folie tant la faim le tiraillait. Il lui semblait que des rongeur lui dévoraient les entrailles tant il ressentait un manque dans le creux de l’estomac et il avait besoin de savoir qu’aucun lambeaux de chair ne manquait à sa place. Malgré tout cela, il continua sa progression, les yeux fermés, le dos courbé dans l’espoir que la mort serait plus douce à vivre si il changeait d’endroit.



A force de déplacement, il se rapprocha d’un tout inconnu. Il ne pu le voir d’abords, car ses yeux étaient maintenu clos pour lui permettre de délocaliser la douleurs en contractant les muscles de ses paupières. S’est pour cela que se fut ses oreilles qui l’avertirent de la masse. Un bruit grondant et continu le convint à regarder devant lui et il oublia ses douleurs quelques brefs instants devant le spectacle. Devant lui des gens se hâtait, et une ville s’élevait à ses pieds. Des bâtiments immatériels sortait du sol et maintes gens souriaient presque, semblant oublier leurs souffrances. Ici-bas, toute douleur avait un remède et toute souffrant pouvait trouver la joie du répit lorsque l’occasion s’en présentait. Il est plus facile de souffrir si l’on connaît la paix intérieur qui nous échappe. Ici,les gens connaissent tantôt la chaleur du bien être, tantôt les pires maux qui puissent être rendu supportable à un être humain, mort ou vif. Mais lorsque le calme était disponible, lorsque le mal se reposait pour pouvoir reprendre pire qu’il avait arrêté, un semblant de bonheur s’emparait de ce peuple millénaire qui gémit sans fin alors que le plus grand des bonheur lui est parfois offert et qu’il est le seul à connaître. Le bonheur forcé, qui vous permet de ne pas oublier que la souffrance finira par revenir.



Tandis que Vlaan, de l’endroit sans maux d’où il peut désormais contempler l’inexistence de la sensation, sait qu’il ne connaîtra jamais plus de bonheur plus intense que celui du réconfort même, que rien de pire ne puisse désormais arriver.

Moualà,s'est fini...désolé pour le "Français" en gras mais je l'avait écrit dans une police que le forum ne reconait pas (Batang) et donc il a fait au ressemblant.


Un seul doute me tiraille...faut pas qu'elle pense que s'est pas de moi...sa serait la haine...

^^
pour les cours ca irat ^^' j'en ai deja assez au lycée x)

S'est pas un cours...s'est jsute pour remplir la bibliothèque...

c'est pareil ^^

s'est vrai...

on peut savoir quel note t'a eu?

Chuttttt ........

La prof m'a mit hors sujet parceque j'ais décrit deux lieux et il n'en fallait qu'un...mais tu connais Gigi,sa m'a pas étonné de sa part...donc 6/15 en étant hors sujet...

waow... 6/15 avec un hors sujet autent dire qu'elle t'as vu comem un artiste...

Tu pousserai pas un tout petit peu là?

nan serieux, moi la seule fois ou une prof m'a reconnue un peu de talent, elle est tombé en cloque et nous a quités au millieux de l'ané...
(super pour l'ané du bac ... et apres on dira que les libertaires ont de gros défauts d'organisation...)

S'est vrai que t'as pas eu de bol sur ce coup là...en plus la remplacente elle était pas commode à se farcir...Mais ta prof était peut pêtre un peu facile je pense...fin,s'est ce que j'ias pu observer le peu que je l'ai eu...

un peu "facil"? c'est a dire??

l seul chose que je pourait lui repprocher c'est de pas être assez accé sur le bac et son optention... mais elle n'a peutêtre tout simplement pas eu le temps.

S'est sur que le temps elle en a pas eu beaucoup...Et je veut dire qu'elle s'atendait pas à se que vous souleviez des montagne.Fin' chez nous les bonnes notes pleuvait avec elle et s'est aussi ce que j'ais cru pouvoir comprendre de votre côté.

ouais c'est vrais note pas trop salope